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De la science… mais aussi bien d’autres choses !

Sciences participatives

Parce que les programmes de sciences participatives de Vigie-Nature sont bien plus que de la science ! Hormis des résultats scientifiques, qu’y cherche-t-on, qu’y trouve-t-on ? Et parce que celles et ceux qui participent en parlent le mieux, voici un petit florilège de témoignages, une liste à la Prévert, un sentier avec des voies à explorer, à parcourir et à partager…

 

Pourquoi participer ?

 

Pour découvrir celles et ceux qui nous entoure, comme en témoigne Sacha qui s’est plongé dans la découverte des oiseaux (Sacha, Oiseaux des jardins),

   pour apprécier leur beauté, comme celle des papillons qui anime Monique (Monique, Opération Papillons),

   pour apprendre à les nommer, comme Julie qui a découvert les plantes en les regardant (Julie, Sauvages de ma rue),

   ou en les écoutant, comme Éric, qui a appris à reconnaitre les oiseaux à leur chant, (Éric, Oiseaux des jardins),

   pour découvrir une richesse insoupçonnée dirait Jean-Luc, en parlant des insectes pollinisateurs, (Jean-Luc, Spipoll),

   pour connaitre les habitants de son jardin et se faire du bien, comme Pierre-Jean (Pierre-Jean, Opération Papillons),

   ou simplement, parce qu’il y a déjà un lien établi et c’est une évidence, comme pour Nicole, (Nicole, Spipoll),

   et finalement élargir son monde, ici avec celui des habitantes de la nuit que sont les chauves-souris (participant, Vigie-chiro).

 

... Pour s’apaiser, s’extraire un moment du quotidien, comme le fait Jean-Luc en observant les oiseaux (Jean-Luc, Birdlab),

ou pour pimenter son quotidien, en se lançant des défis, comme Gilles, qui a voulu observer la totalité des insectes fréquentant une espèce de fleur à un endroit donné (Gilles, Spipoll),

   en partant à l’aventure pour faire des relevés floristiques comme de nombreux botanistes (participant.es, Vigie-flore),

   qui s’exposent décidément à vivre des expériences singulières (participant.es, Vigie-flore),

   ou en provoquant des rencontres inattendues, ici pour Pauline avec un chardonneret (Pauline, Birdlab),

   ou encore en rentrant dans une autre dimension, celle du minuscule avec la faune du sol, expérimentée ici par Fanny (Fanny, QUBS).

 

...Pour se découvrir une nouvelle passion, au moment de la retraire, comme Serge, « qui a troqué des ailes d’acier pour des ailes de plumes » (Serge, Oiseaux des jardins),

   ou à d’autres occasions, comme Hugues, qui l’a reçu en héritage, (Hugues, STOC),

   en associer une à une autre, comme Steed qui allie photographie et découvertes des pollinisateurs (Steed, Spipoll),

   ou même donner un nouvel élan à sa vie, changer de voie comme l’a fait Florent qui s’est découvert une passion pour les plantes, devenue vocation, et bien plus encore (Florent, Sauvages de ma rue).

 

... Pour enrichir sa manière de travailler,

   se réancrer dans le vivant et voir ses parcelles autrement lorsque l’on cultive la terre (participant.es, OAB),

   redonner du sens à son travail de gestionnaire d’espaces verts en observant les papillons, (participant.es, Propage),

   faire découvrir la biodiversité aux élèves lorsque l’on enseigne et développer des activités pédagogiques aiguisant leur curiosité (participant.es, Vigie-Nature École),

   et pouvoir leur offrir la possibilité de porter un autre regard sur les espèces qui nous entourent, comme en témoigne Juliette (Juliette, Vigie-Nature École).

 

... Pour partager

   un moment en famille, comme le font ce père et ce fils lorsqu’ils se mettent à l’affut des papillons  (participants, Opération Papillons),

   partager ses découvertes avec d’autres et apprendre ensemble, comme le racontent René, Francine et Nelly à propos du forum associé à l’Opération Papillons (participantes, Opération Papillons),

   et ses connaissances en initiant d’autres personnes curieuses de la nature, comme le groupe ornithologique normand (participant.es, Oiseaux des jardins),

et faire changer les regards, celui sur les insectes par exemple, une mission à laquelle Barbara s’emploie sans faille (Barbara, Spipoll).

 

Car il s’agit aussi de cela, faire quelque chose pour la biodiversité, avec l'envie de s’impliquer pour répondre à l’inquiétude sur l’état de la planète, c’est ce qui motive Fabienne à photographier les pollinisateurs (Fabienne, Spipoll),

   et se sentir utile parce que les observations servent à faire des analyses scientifiques, comme le dit Anne qui a fait installer des mangeoires au bas de son immeuble et participe à la recherche sur le comportement des oiseaux (Anne, Birdlab),

   ou Christian, qui contribue au suivi des oiseaux et voit les résultats dans les rapports et les médias  (Christian, STOC),

   et devenir soi-même un observateur ou une observatrice averti, attentif aux dynamiques de la biodiversité, aux mouvements des espèces, comme Michel qui scrute l’arrivée des oiseaux hivernants (Michel, SHOC).

 

A vous de prolonger ce florilège à l'envie, avec votre propre vécu et si le cœur vous en dit, n'hésitez pas à m'écrire pour témoigner de votre expérience.

HD.
helene.dupont@mnhn.fr

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